Les éditions 21g reviennent sur les principaux évènements qui ont marqué l’existence de l’écrivain d’horreur et de science-fiction Howard Phillips Lovecraft à partir de 1932. S’il est surtout connu son célébrissime mythe de Cthulhu, l’écrivain confidentiel de son vivant a depuis connu une renommée grandissante qui en fait un des auteurs américains majeurs du XXe siècle tant sa postérité est immense. La bande dessinée revient sur l’existence d’un solitaire aux limites de la folie.
Un auteur mal connu
Le titre annonce tout de suite la couleur, Celui qui écrivait dans les ténèbres se concentre sur la part d’ombre d’un homme qui chercha au plus profond de lui même la meilleure manière d’exprimer sa différence. L’ouvrage évoque les obsessions de l’auteur dans une existence passée à fuir sa femme Sonia et New York pour privilégier le cocon protecteur de la ville familiale de Providence et la compagnie de ses tantes. L’imbrication des saynètes dévoile le poids pesant de phobies qui lui font adopter un comportement parfois étrange en société. Mais ses écrits fascinent suffisamment un certain nombre de ses contemporains pour l’inclure de fait dans une école de pensée aux limites de l’occultisme. Issu d’une ancienne famille anglo saxonne devenue désargentée, Lovecraft n’aimait guère ces immigrés qui selon lui pullulaient, accroissant d’autant la part d’ombre du personnage.
Des références nombreuses
La bande dessinée collective d’Alex Nikolavitch, Gervasio et Carlos Aon se se prive pas de multiplier les références à une oeuvre plurielle. Publiées de son vivant dans des pulp magazines tels que Weird Tales, ses histoires créent une mythologie qui ne cesse depuis de fasciner les foules. Le cycle de Cthulhu et le recours fréquent au Necronomicon et aux dieux mettent en avant le surnaturel et la place ténue de l’homme dans un monde de mythes qui le dépassent. Nul doute que les terreurs nocturnes évoquées dans la BD aient participé à l’édification d’une oeuvre issue de l’inconscient et du symbolisme. Les traits de la bande dessinée mélangent le réalisme le plus élégant à des incursions fantastiques qui exhalent l’oeuvre majeure de l’auteur.
Celui qui écrivait dans les ténèbres ouvre une lucarne sur l’existence mal connue d’un auteur resté dans l’ombre de son vivant et devenu culte après sa disparition. La lecture de cette BD permet de de documenter avant de peut être revenir à des écrits rentrés dans l’éternité.
Un auteur mal connu
Le titre annonce tout de suite la couleur, Celui qui écrivait dans les ténèbres se concentre sur la part d’ombre d’un homme qui chercha au plus profond de lui même la meilleure manière d’exprimer sa différence. L’ouvrage évoque les obsessions de l’auteur dans une existence passée à fuir sa femme Sonia et New York pour privilégier le cocon protecteur de la ville familiale de Providence et la compagnie de ses tantes. L’imbrication des saynètes dévoile le poids pesant de phobies qui lui font adopter un comportement parfois étrange en société. Mais ses écrits fascinent suffisamment un certain nombre de ses contemporains pour l’inclure de fait dans une école de pensée aux limites de l’occultisme. Issu d’une ancienne famille anglo saxonne devenue désargentée, Lovecraft n’aimait guère ces immigrés qui selon lui pullulaient, accroissant d’autant la part d’ombre du personnage.
Des références nombreuses
La bande dessinée collective d’Alex Nikolavitch, Gervasio et Carlos Aon se se prive pas de multiplier les références à une oeuvre plurielle. Publiées de son vivant dans des pulp magazines tels que Weird Tales, ses histoires créent une mythologie qui ne cesse depuis de fasciner les foules. Le cycle de Cthulhu et le recours fréquent au Necronomicon et aux dieux mettent en avant le surnaturel et la place ténue de l’homme dans un monde de mythes qui le dépassent. Nul doute que les terreurs nocturnes évoquées dans la BD aient participé à l’édification d’une oeuvre issue de l’inconscient et du symbolisme. Les traits de la bande dessinée mélangent le réalisme le plus élégant à des incursions fantastiques qui exhalent l’oeuvre majeure de l’auteur.
Celui qui écrivait dans les ténèbres ouvre une lucarne sur l’existence mal connue d’un auteur resté dans l’ombre de son vivant et devenu culte après sa disparition. La lecture de cette BD permet de de documenter avant de peut être revenir à des écrits rentrés dans l’éternité.